Gallipoli: Was man in der schönen Stadt des Salento sehen kann
Gallipoli : ce qu'il faut voir dans la belle ville de Salento
Êtes-vous prêt à vivre une expérience inoubliable dans l'un des lieux les plus évocateurs du sud de l'Italie ? Si vous prévoyez un voyage dans les Pouilles, vous devez absolument mettre Gallipoli sur votre liste de choses à voir .Cette ville côtière est un véritable trésor caché, qui offre bien plus que le soleil et la mer. Vousy trouverez une variété d'attractions culturelles, historiques et naturelles qui vous laisseront sans voix.
Plongée dans une atmosphère méditerranéenne, Gallipoli est célèbre pour ses plages à couper le souffle et ses eaux cristallines. Mais il y a bien plus à découvrir dans cette ville enchanteresse, qui s'enorgueillit d'un patrimoine culturel et historique très intéressant.
Lors de votre visite à Gallipoli, vous pourrez admirer les nombreux monuments et églises baroques, goûter à la cuisine locale et vivre une expérience authentique dans les ruelles de la vieille ville. Ne manquez pas de vous promener le long de la promenade du front de mer et d'admirer les magnifiques paysages naturels.
Pour vous aider dans votre voyage, nous avons sélectionné les meilleures attractions de Gallipoli à ne pas manquer. Choisissez vos préférées et découvrez la beauté de cette ville enchanteresse !
La célèbre appellation de "Città Bella" (c'est le sens du toponyme dérivé de la langue grecque) lui va comme un gant. Attrayante, Gallipoli l'a toujours été, depuis ses origines les plus anciennes. Sinon, on ne s'expliquerait pas pourquoi elle a été continuellement, au cours des siècles, au centre des regards de divers peuples conquérants : son territoire a connu les dominations et les invasions successives des Romains, des Barbares, des Byzantins, des Grecs, des Normands, des Angevins, des Aragonais, des Vénitiens, des Espagnols, des Français et d'autres encore.Le "miel" de la cité ionienne, à n'en pas douter, a longtemps été son port et les activités commerciales qui y sont liées. En effet, ses ports. En effet, il existe deux lieux d'accostage et d'amarrage des bateaux, dont le plus ancien (le port de pêche) est situé près de la fontaine grecque et à proximité du Rivellino, presque à la frontière (marquée par un pont en maçonnerie du XVIIe siècle) entre la ville moderne (dont le célèbre Corso Roma est le symbole) et la vieille ville.
En effet, la "Città Bella" a deux âmes, et l'autre port, le port marchand, flanque une muraille de la vieille ville qui s'élève, ou plutôt flotte, sur une ancienne île de calcaire.Le château angevin vous accueillera dans le Gallipoli d'antan, une structure défensive renforcée, plus tard, par le Rivellino : vous les observerez en chair et en os (mais aussi reflétés dans le miroir d'eau sur lequel ils reposent) à votre gauche, car vous avez l'intention de franchir le seuil (le fameux pont) entre le présent fascinant et le passé tout aussi séduisant. Une fois sorti de la machine à remonter le temps, vous vous retrouverez face à un dédale de ruelles suggestives, où l'histoire fleurit à chaque coin de rue : préparez-vous à une cavalcade d'églises (dont la majestueuse cathédrale de Sant'Agata, un spécimen baroque), de palais nobles et du moulin à huile souterrain du Palazzo Granafei (où l'on produisait autrefois le fleuron du commerce local, l'huile de lampante).Mais Gallipoli, ce n'est pas seulement l'histoire, la culture et l'art. Il y a la mer (et ce n'est pas un hasard si l'autre surnom de la ville est la "Perle de la mer Ionienne") : un manteau bleu velouté qui couvre la côte sud, essentiellement sablonneuse, sur une vingtaine de kilomètres et qui s'étend au nord jusqu'à Rivabella. La nature est présente : des pinèdes et des plantes méditerranéennes typiques encadrent les plages, mais le véritable chef-d'?uvre est le "Parc naturel régional de l'île de Sant'Andrea et du littoral de Punta Pizzo", une oasis protégée de pas moins de 700 hectares.
L'histoire de Gallipoli
Les origines de la ville de Gallipoli sont controversées. Selon une légende, elle aurait été fondée par le héros crétois Idoménée (qui aurait apporté l'image d'un coq imprimée sur son bouclier, choisie par la suite pour les armoiries de la ville), tandis qu'une autre légende affirme qu'elle a été créée par le spartiate Leucippus. En réalité, la présence humaine semble être d'origine préhistorique et Gallipoli a probablement été le lieu de débarquement de la ville messapienne d'Alezio, détruite par la suite. Le nom est cependant d'origine grecque, Gallipoli dérivant en effet de "Kale Polis" ("belle ville") et remontant à l'époque où le centre était une colonie de la Grande-Grèce. Puis, en 265 avant J.-C., Rome vint occuper son sol après la victoire de la première guerre punique, Gallipoli ayant choisi de flanquer Tarente et Pyrrhus. On ne peut cependant pas dire que la domination romaine n'ait pas profité à son développement : les voies de communication furent renforcées et les activités portuaires accrues, jusqu'à ce que Gallipoli devienne une véritable municipalité. Malheureusement, les travaux réalisés par les Romains ont été complètement détruits au Moyen Âge (vers 450), avec les invasions des Barbares (Vandales et Goths). Puis ce fut le tour des Byzantins qui régnèrent sur Gallipoli pendant 42 ans à partir de 500.
Sous l'Empire romain d'Onesti, à partir de 542, la ville connut une nouvelle période de prospérité, dont le symbole fut la construction du célèbre château, construit à des fins défensives et renforcé par la suite par une autre structure fortifiée, la célèbre tour Rivellino, reliée par un pont-levis au bâtiment principal. Cependant, le centre est resté longtemps entre les mains des Byzantins, au point que l'observance du rite grec s'est poursuivie jusqu'au XVIe siècle, avant de passer aux mains des Normands en 1071, puis des Souabes, des Angevins et des Aragonais, dont on se souvient surtout de l'impitoyable siège angevin de 1268, des traces architecturales qui ont survécu jusqu'à aujourd'hui et de l'intensification des échanges commerciaux.Mais c'est sous les Espagnols qu'au XVIe siècle, la ville retrouve son éclat, notamment dans le domaine de l'artisanat et du commerce, dont le florissant commerce de l'huile lampante. Pour faire face à l'augmentation du trafic, la construction d'un nouveau port commença en 1773, mais il ne fut achevé qu'en 1830, sous le règne de Ferdinand Ier de Bourbon, avec lequel Gallipoli fut rattachée au Royaume de Naples.
L'expansion de la ville à partir du centre historique construit sur une petite péninsule a été planifiée en 1785 avec de nombreuses rues orthogonales qui ont grandement contribué à sa conformation actuelle. À l'approche de l'unification de l'Italie, la ville est d'abord devenue un chef-lieu de district, puis, immédiatement après 1861, un chef-lieu de district avec Lecce et Tarente. Elle fut desservie par le chemin de fer en 1880 et soumise à un "plan de réaménagement" de l'habitat qui fut une grave erreur historique, puisqu'il démolit l'ancienne porte d'entrée de la ville et les remparts pour faire place à des boulevards panoramiques. Elle est ensuite passée dans l'orbite de la province de Lecce et est restée un important centre touristique.
Promenade dans le centre historique
Le centre historique de Gallipoli est l'un des plus fascinants et des mieux conservés du sud de l'Italie. Construit sur une île reliée au continent par un pont, il offre une expérience unique aux visiteurs qui s'immergent dans ses étroites rues pavées et ses ruelles pittoresques.
En vous promenant dans le centre historique de Gallipoli, vous pourrez admirer les églises baroques, les maisons blanches et les anciennes tours de guet qui rappellent l'important rôle défensif de la ville dans le passé. Parmi les principales attractions à visiter, citons l'église Santa Maria della Purità, l'église San Francesco d'Assisei et la tour Rivellino .Si vous êtes amateur d'art sacré, ne manquez pas la basilique cathédrale de Sant'Agata .Cette église baroque du XVIIe siècle abrite d'importantes ?uvres d'art, notamment des peintures d'artistes locaux tels que Giovanni Andrea Coppola.
Ne manquez pas de visiter le château de Gallipoli. Cette forteresse du XVe siècle a été construite pour défendre la ville contre les invasions turques. Aujourd'hui, elle abrite une exposition permanente sur l'histoire de la ville et offre une vue panoramique sur le port et la mer.
Ne manquez pas l'occasion de goûter aux délicieux produits locaux dans les boutiques et les restaurants traditionnels de la vieille ville. Vous pourrez déguster la cuisine typique des Pouilles, composée d'ingrédients simples et de qualité tels que la burrata, les taralli, les tomates séchées au soleil et l'huile d'olive .Vous pourrezégalement déguster des spécialités de poisson frais, comme le poulpe à la pignata et les moules au gratin.
En outre, le centre historique de Gallipoli est célèbre pour ses marchés, où l'on peut acheter des produits locaux frais et de qualité. Le marché couvert de Gallipoli est un lieu incontournable pour les amateurs de gastronomie et de vin. Vous y trouverez un large choix de fromages, de charcuteries, de fruits et de légumes frais, ainsi qu'une grande variété de vins et de spiritueux locaux.
La visite du centre historique de Gallipoli est un must pour tous ceux qui visitent la ville. Vous pourrez vousplonger dans l'histoire et la culture du sud de l'Italie, déguster des produits locaux et admirer le pittoresque paysage méditerranéen.
Le port
Il n'est pas exact de parler de port de Gallipoli, car la "belle ville" dispose de deux installations d'accostage et d'amarrage. En effet, l'un, à proximité de la fontaine grecque, est destiné aux paranze (bateaux de pêche) ; l'autre, le port marchand, se trouve dans la vieille ville. Ce dernier, plusieurs fois rénové, couvre aujourd'hui une superficie de 80 000 mètres carrés, mais son histoire remonte au XVe siècle. Ce sont en effet les Vénitiens, puis les Aragonais, qui ont transformé ce qui n'était qu'un petit abri pour les bateaux en un port digne de ce nom qui, à partir de 1500, est devenu un point de référence fondamental pour le commerce du vin, mais surtout pour celui de l'huile lampante. Oui, parce que Gallipoli, bien avant d'être la "belle ville", et même avant la construction du port, était avant tout la ville de l'huile. De là, l'"or jaune" était exporté non seulement vers Naples et Venise, mais aussi vers l'Angleterre (pour les lainages et les teintureries) et la Russie (pour les usages votifs).
La renommée du produit d'excellence de Gallipoli était telle que chaque année, aux XVIIIe et XVIe siècles, la "Fiera del Canneto" (Foire de Canneto) se tenait dans la semaine du 2 au 8 juillet. À cette époque, on produisait environ 85 000 quintaux d'huile par an. Mais qui a "forgé" l'or jaune ? Les paysans de Gallipoli, à l'intérieur des célèbres "trappeti", c'est-à-dire des moulins à huile souterrains, dont celui qui se trouve au Palazzo Granafei, dans la vieille ville, sur la Via Antonietta De Pace, que l'on peut encore visiter. Aujourd'hui, le port a perdu sa centralité et la fonction commerciale qu'il avait autrefois, mais c'est un port touristique important que le Molo Tramontana et le Molo Foraneo protègent des tempêtes. Et ce n'est pas tout : dans la zone portuaire, compte tenu de sa taille, se déroulent des événements importants et célèbres, tels que des concerts et, surtout, le Prix Baroque, le célèbre événement culturel qui, jusqu'à l'année dernière, était retransmis en direct sur Rai 1. Une curiosité : le port de Gallipoli est représenté sur d'illustres cartes postales et sur deux tableaux du peintre gallipolien Giulio Pagliano, conservés au musée civique "Emanuele Barba". Les tableaux "La maison de la santé et le port de Gallipoli" et "Vue du port de Gallipoli (toilettes de guerre)" datent des premières décennies du XXe siècle.
Excursions naturelles à Gallipoli
Le parc naturel régional de l'île de Sant'Andréa et de Punta Pizzo est un lieu incontournable pour les amoureux de la nature qui visitent Gallipoli. Ce parc couvre environ 1 000 hectares de côtes rocheuses, de dunes de sable et de maquis méditerranéen, offrant une grande variété de paysages naturels à découvrir.
Une promenade dans le parc vous conduira sur des sentiers à travers le maquis méditerranéen, parmi les plantes de romarin, de thym et de myrte. En chemin, vous pourrez admirer la côte rocheuse et les plages de sable blanc surplombant la mer cristalline. Le parc offre également de nombreuses possibilités d'activités de plein air, telles que la plongée avec masque et tuba ou l'observation des oiseaux.
Les plages de Gallipoli
Les plages de Gallipoli sont parmi les plus belles du Salento. Baia Verde, Punta della Suina et Lido San Giovanni sont quelques-unes des plages à ne pas manquer. Vous pourrez y profiter du soleil, vous baigner dans des eaux cristallines et vous détendre sur le sable blanc. Si vous préférez une plage plus tranquille, il existe également de nombreuses plages moins fréquentées et plus isolées où vous pourrez profiter de la mer en toute tranquillité.
En outre, les plages de Gallipoli offrent de nombreuses activités pour ceux qui recherchent un peu d'aventure. Vous pouvezpratiquer des sports nautiques tels que le kayak, la planche à voile et le kitesurf, ou louer un bateau pour explorer la côte et les îles environnantes.
En résumé, si vous prévoyez un voyage dans les Pouilles, Gallipoli est un excellent choix pour les amoureux de la nature et de la mer. Avec son parc naturel, ses plages et ses nombreuses activités de plein air, cette ville côtière offre une expérience unique que vous n'oublierez pas de sitôt.
Le carnaval de Gallipoli
Le carnaval de Gallipoli est l'un des plus anciens d'Italie et l'un des plus connus de la région avec celui de Putignano. Il a lieu tous les ans depuis 1941, sauf en 2011 et 2012. La période du carnaval commence traditionnellement le 17 janvier avec l'allumage de la focara di Sant'Antonio Abate, mais les véritables festivités commencent plus tard.Le point culminant est atteint le dernier dimanche de carnaval et le mardi gras, jours où de grands chars allégoriques en papier mâché fabriqués par d'habiles artisans défilent dans les rues de la ville et sur le grand Corso Roma, accompagnés de groupes masqués qui présentent des spectacles à thème ou qui mettent le char "en marche". L'événement attire des milliers de personnes de toutes les villes des Pouilles, qui assistent au spectacle en civil ou masquées le long des rues traversées.La tradition du carnaval est en tout cas bien plus ancienne que la "fête officielle", à tel point qu'il existe des documents du XVIIIe siècle montrant des représentations folkloriques carnavalesques, et l'on pense que les véritables origines remontent à la période médiévale, à partir d'une initiative d'esprit populaire, telle qu'elle s'est conservée jusqu'à aujourd'hui.Il est intéressant de noter que cette expression populaire est vécue par les habitants avec une série d'échéances temporelles et rituelles qui remontent à cette époque, dans un mélange continu de symbolisme païen et chrétien, comme le choix même du jour de la Focara di Sant'Antonio pour en marquer le début : en même temps que le feu principal, plusieurs autres feux plus petits sont allumés dans les rues, donnant naissance à l'ancienne tradition du "focareddhre" de Saint Antoine. Les feux sont allumés selon des rituels codifiés au fil des siècles. Des documents montrent qu'à cette époque déjà, de nombreuses mascarades se déroulaient dans les rues de la vieille ville, réalisées avec les vêtements des pauvres et les soieries des riches et impliquant toutes les classes sociales, dans le seul but de faire rire et de jouer des tours, en oubliant pour un temps les problèmes de la vie quotidienne. Les masques sont accueillis par des applaudissements et des confettis. Les premiers chars sarcastiques sont apparus au début du XXe siècle, flanquant le "Lu Titoru" original. La relance définitive du carnaval de Gallipoli sur une base permanente et organisée a commencé après la Seconde Guerre mondiale, avec un succès croissant et atteignant même plus de cent mille personnes.Le carnaval de Gallipoli, comme nous l'avons déjà mentionné, a également son propre masque, celui que l'on appelle "Lu Titoru", le nom dialectal de Théodore. Ce masque a été créé en mémoire de Teodoro qui, selon la tradition, à son retour du service militaire, demanda à sa mère de lui préparer de délicieuses boulettes de viande. N'en ayant pas mangé depuis longtemps, il les avala férocement et s'étouffa. Selon une autre version, le jeune homme, qui s'était enfin laissé aller au plaisir de manger sans retenue, s'est étouffé en mangeant successivement des saucisses et des boulettes de viande de porc. La mère du jeune homme s'appelle Caremma, un nom dialectal pour le carême. La tradition n'est pas vérifiée, mais le masque est représenté dans tous les carnavals, avec Caremma et une série d'autres personnages qui le pleurent.
La cuisine typique
À Gallipoli, l'heure du déjeuner et du dîner est un moment magique : comme par enchantement, les habitants de la mer (poissons, crustacés et mollusques) plongent dans les plats succulents servis sur les tables richement dressées. Mais la magie se poursuit à l'intérieur des plats, où le velouté de la mer se mêle à la rusticité de la terre et à ses produits typiques (légumes, céréales, légumineuses).Parmi les hors-d'?uvre, vous trouverez peut-être le célèbre et traditionnel "scapece" : aujourd'hui invité d'honneur des étals lors des fêtes patronales caractéristiques, hier source idéale de nourriture (car "de longue garde") pendant les périodes de siège ennemi. Il s'agit de petits poissons (généralement "ope" et "cupiddhi") frits et marinés entre des couches de chapelure jaune, colorée par le safran.
Un plat de pauvre, comme l'appétissante "pittule" farcie à la morue, dont les beignets de pâte levée sont aromatisés avec la fameuse morue conservée dans le sel.Mais le poisson, qui doit être plongé dans l'eau froide avant d'être consommé, est aussi le protagoniste du plat (souvent unique) de "baccalà con le patate" (morue aux pommes de terre), cuit à l'étouffée. Le célèbre tubercule des Pouilles revient ensuite dans le non moins célèbre "taieddhra", cuit dans la poêle en terre cuite du même nom, dans laquelle sont placés du riz, des pommes de terre et des moules.Ce sont encore les pommes de terre qui rencontrent la mer dans le "purpu alla pignata", composé de poulpe en sauce, le tout placé dans l'ancienne marmite en terre cuite qui a donné son nom au plat.En résumé, le poisson rend les plats traditionnels plus raffinés, comme dans le cas de la soupe d'épeautre aux fruits de mer et à la sébaste, ou de la semoule assaisonnée de moules noires et de noix, sans oublier les tagliatelles aux crevettes et à la crème de pois chiches. Et que dire des pâtes maison ("fatta a casa") assaisonnées de sauces au poisson et aux fruits de mer ?
Et entre une bouchée de "minchiareddhi" et une d'"orecchiette", n'oubliez pas de siroter l'excellent vin local (Malvasia, Lambrusco, Negroamaro et Primitivo parmi les rouges, Chardonnay, Moscato et Verdeca parmi les blancs), un autre des joyaux de la couronne de la gastronomie et du vin des Pouilles.Le vin et la bonne chère sont également les protagonistes des fêtes traditionnelles qui ravissent les palais des touristes et des habitants du Salento, le tout agrémenté de musique et de danses populaires (la fameuse "pizzica"). À Gallipoli, la plus attendue est la "sagra de la frisa e te lu pesce frittu", prévue pour l'été.
Où trouver Gallipoli
Gallipoli se trouve sur la côte orientale de la péninsule du Salento, dans la province de Lecce. Avec plus de 20 000 habitants, la ville est l'un des centres les plus densément peuplés de la région. En face de Gallipoli se trouve une autre île, qui n'est pas du tout reliée au continent, appelée Isola di Sant'Andrea. Dans l'ensemble, le territoire de Gallipoli s'étend le long d'un littoral qui comprend plusieurs localités, parmi lesquelles Baia Verde et Punta Pizzo, au sud, Rivabella et Lido Conchiglie, au nord. Punta Pizzo, ainsi que l'île de Sant'Andrea, font partie d'un parc naturel régional.
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